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Carrosserie, En chantier

La baie de pare-brise

La baie après démontage du pare-brise.
On peut se demander s’il y avait vraiment un joint…. un coup de brosse nylon, écartement des tôles pour voir plus clair et c’est parti.

Détail sur la partie la plus abîmée, il faut noter que, si la première tôle qui arrive en jonction est bien abîmée par la rouille, la seconde est saine – c’est sauvable !

Sérieux nettoyage des tôles à la brosse nylon dans tous les sens, étamage de la partie droite y compris en vertical, pour recharger en matière lorsque la première tôle était trop abîmée.

Vue d’ensemble après étamage de la partie droite et traitement au férose.
Le morceau de bois m’a servi à caler des carrés de laiton façonnés que j’ai fait passer par dessous pour étamer les trous de rouille.

La partie gauche a nécessité une soudure au point

Après le passage de Bernard voilà ce que ça donne 😉 et je retiens que ce type de soudure n’aime pas le Férose. C’est maintenant solide – très solide même, il n’y plus qu’à boucher les trous avec … un bon étamage.

Une bonne couche de colle-mastic polyuréthane par dessous (ça peut pas faire de mal)

Apprêt – on la dirait neuve cette baie 😉

Et maintenant le haut de la baie … avant

Ponçage, férose, apprêt…

Il y a un peu de rouille aussi entre les deux tôles formant la jonction de la baie, j’ai (encore) enlevé la rouille, férosé puis re-solidarisé les tôles avec de la colle-mastic polyuréthane.

Un bon coup d’apprêt et c’est neuf

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